Du nom de son formateur Milton ERICKSON, cette technique d’hypnose est la plus pratiquée en médecine et en psychothérapie. Le consultant est « induit » vers un état de conscience modifié avec sa propre participation. Cette forme d’hypnose permet au consultant de relier son conscient avec son inconscient dans le but d’opérer un changement.

Différence entre l’hypnose classique et l’hypnose Ericksonienne :

Dans le livre SALEM (1993), l’auteur analyse et compare les deux hypnoses. Selon lui, l’hypnose classique diffère de celle d’ERICKSON dans l’esprit comme dans la procédure. L’hypnose classique cherche à influencer le sujet : hypnose de type directif. Au contraire de l’hypnose ERICKSONIENNE où l’on facilite chez le sujet l’émergence de données internes inconscientes ; on stimule sa mémoire, on « réveille » son histoire personnelle en le « suivant » mais sans jamais l’influencer ; c’est le consultant lui-même qui découvre et choisit son chemin. (Hypnose de type permissif).

L’hypnose éricksonienne se caractérise notamment par la manière de gérer la relation au patient, de communiquer avec lui, de conduire la thérapie dans une approche stratégique et aussi par la manière d’induire la transe hypnotique. Loin de l’hypnose classique marquée par les médecins : Charcot, Bernheim et, encore plus, de l’hypnose de music-hall : « Dormez, je le veux ! », l’hypnose éricksonienne se vit comme un apprentissage avec la participation active de la personne.
Tout en gardant une part consciente — tout comme, contrairement à l’idée reçue, dans l’hypnose de spectacle —, vous accédez à un « état modifié de conscience » vous libérant de la rationalité et des inhibitions. Vous vous ouvrez à une grande réceptivité et à une créativité démultipliée. Des souvenirs peuvent être réactivés de façon prégnante. Les changements que vous vivrez passeront par le ressenti et les émotions et, contrairement à une approche analytique interprétative, la recherche de causes ou l’interprétation de symptômes ne constituent pas en eux-mêmes des déterminants de la résolution de vos difficultés.

Article de Jean Touati, hypnothérapeute
Juin 2007

L’hypnose régressive est une approche de plus en plus fréquemment utilisée et permettant d’œuvrer à la résolution d’évènements passés traumatiques nuisant au bien-être physique, mental ou émotionnel du consultant.

Cette régression a pour bénéfice de “revisiter” la problématique afin d’en comprendre son impact sur ses comportements et ses choix.

Ce dernier va donc “remonter” dans le passé et revenir à certaines périodes de sa vie actuelle voire à certaines de ses vies antérieures.

Selon mes valeurs, l’hypnose régressive est pour moi, une expansion de conscience.

L’hypnose régressive permet de travailler sur :

• Les phobies, les peurs
• Comprendre le sens de sa vie, de son cheminement
• Comprendre les schémas répétitifs
• Explorer les causes de certains scénarios
• Se réapproprier ses compétences
• Valider ou invalider une expérience
• “Revisiter” le vécu commun avec d’autres vies
• Nourrir la curiosité du consultant face à sa problématique

L’hypnothérapie dite “spirituelle” joue sur des méthodes liées à l’hypnose afin d’accéder à un “soi supérieur”. En effet, le “soi supérieur” répond aux besoins de l’âme.

L’hypnose spitiruelle permet de :

• Rencontrer son guide spirituel
• Découvrir sa mission de vie
• Nettoyer ses mémoires cellulaires
• Stimuler son énergie vitale
• Développer la loi de l’attraction
• Développer son intuition
• Accéder aux anales akashiques